On choisit un nouveau repère attaché au point M, à savoir (M,τ,
N), où
τ est tangent à la
trajectoire,
N est tel que
τ.
N = 0 (donc obtenu par rotation de π∕2 dans le sens direct
du vecteur
τ). Localement, le cercle osculateur à la trajectoire (cercle qui décrit au
mieux la courbure de l’arc ds) a pour rayon R, on peut écrire ds = Rdφ et on montre
que
![]() | (1.16) |
À partir de l’abscisse curviligne s (longueur de la trajectoire de M depuis l’origine M0), on peut déduire
![]() | (1.17) |
même si bien souvent, on détermine s à partir de ṡ = |||| (voir l’exemple de la cycloïde) :
![]() | (1.18) |
![]() | (1.19) |
L’accélération peut également s’écrire
![]() | (1.20) |
avec